
- Maître Mickaël Waldmann - Avocat aux Barreaux de Paris et de Bruxelles
- jeudi, 21 avril 2016
Karl (78) : J’ai un contentieux avec un salarié qui conteste son licenciement. Lors de l’audience de conciliation auquel je me suis rendu seul, celui-ci me reproche d’avoir oublié de préciser sur la lettre de convocation à l’entretien préalable l’adresse des services où la liste des conseillers peut être consultée. Est-il fondé, comme il le prétend, à demander la nullité du licenciement pour ce simple motif ?
- Maître Mickaël Waldmann - Avocat aux Barreaux de Paris et de Bruxelles
- mercredi, 10 février 2016
Un huissier de Justice peut-il se rendre anonymement dans mon magasin pour procéder à des constats visant à établir des faits qualifiés de concurrence déloyale ?
- Maître Mickaël Waldmann - Avocat aux Barreaux de Paris et de Bruxelles
- jeudi, 05 novembre 2015
Question de Franck (35) : Opticien diplômé, je viens de quitter le poste que j’occupais. La clause de non-concurrence insérée à mon ancien contrat est très faiblement rémunérée (moins de 10% de mon ancienne rémunération). Outre le fait qu’elle m’interdit de retravailler sur une très vaste zone géographique, je crains la réaction de mon ancien employeur si je retrouvais un poste non loin de l’ancien magasin ou j’ai travaillé pendant plus de 6 ans. Pourriez-vous m’éclairer sur la validité de ma clause de non concurrence ?
- Maître Mickaël Waldmann - Avocat aux Barreaux de Paris et de Bruxelles
- lundi, 18 mai 2015
Question de Daniel (95) : Opticien et salarié d’un fonds de commerce, je viens d’apprendre que les dirigeants de mon entreprise envisagent de céder l’activité sous une forme que je ne connais pas encore. J’ai également cru comprendre qu’ils avaient entamé des discussions avec un candidat repreneur. Est-il vrai que les salariés ont également la possibilité de se porter acquéreur de l’entreprise ou du fonds de commerce ?
- Maître Mickaël Waldmann - Avocat aux Barreaux de Paris et de Bruxelles
- vendredi, 06 février 2015
Question de Romain (92) : Franchisé d’une grande enseigne nationale, j’ai licencié au mois de février un de mes salariés pour un motif économique parfaitement avéré. Pour me conformer au droit et sur les conseils de mon expert comptable, j’ai indiqué dans la lettre de rupture que nous ne disposions pas de solution de reclassement au sein de l’entreprise. L’avocat de mon ancien salarié vient de m’écrire pour me dire que j’aurais du également interroger mon franchiseur pour connaitre des possibilités de reclassement au sein du groupe auquel j’appartiens. Est-ce vrai ?
Page 1 sur 2