Sous l’impulsion de Ted Carret, le "Monsieur Santé Visuelle" du réseau Atol, la coopérative se positionne activement sur le segment de la basse vision. Elle entend structurer son offre sur tout le territoire ses six prochains mois. Voici comment...

Déficience visuelle, malvoyance, basse vision… autant de mots qui recouvrent des situations que connaît très bien Ted Carret (photo). Expérimenté, cet opticien Atol est en charge du pôle Santé Visuelle de la coopérative et fondateur, par ailleurs, de l’association Faire Ça Voir, qui oeuvre pour l’accompagnement des personnes atteintes de troubles visuels plus ou moins sévères. Sous son impulsion, le réseau travaille en ce moment à se positionner sur ce créneau largement sous-exploité (rappelons qu’en France, 15 % de la population présente une acuité visuelle inférieure à 6/10e, même corrigée…). Comment ? En ouvrant des centres certifiés Vision Fragile, du nom d'un label porté par Fonda, un acteur de référence dans cet univers-là. Il y a déjà 80 espaces de ce type en Europe, dont un certain nombre chez nos voisins italiens. « Ted Carret forme les opticiens de notre réseau. À date, 65 points de vente Atol sont déjà éligibles et une douzaine de plus le seront d’ici la fin octobre 2025. L’objectif est de 100 points de vente Vision Fragile au sein du réseau Atol au 1er semestre 2026, soit environ un par département afin de rendre accessible ce service de santé visuelle à l’ensemble de la population », nous a précisé la coopérative en matière de perspectives concrètes. La première implantation estampillée Vision Fragile a logiquement eu lieu à Lons-le-Saulnier, sur les terres même de Ted Carret. Le "Monsieur Santé Visuelle" d'Atol ouvre ainsi la voie à une prise en charge personnalisée des déficients visuels touchés par la DMLA, la rétinite pigmentaire, le glaucome… 

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